Maternité

Cette hésitation ...oser le mot
Frisson jubilatoire
Frôlement d'une peau
Déclare à s(i)on...

Sion, je ne sais pas, mais l'on entend là l'écho de tant d'enfants.
Francis.

sillon alors, n'est-ce pas ?

si'on ose sillonner...

il y a une belle diphtongue à entendre : si'y'on, sciller, tel le regard, et sourciller..., scille-t-on à sillonner si l'oscille, ah... l'ocelle, de l'oeilleton si on tant (ren)chérit l'oscillation :

"Je t'aime ! jusqu'au ciel !...
... jusqu'au plafond !"

bonjour ! oui, tous, et pas seulement "les enfants"...
Enid

On appelle les époux qui ont perdu leur conjoint veufs ou veuves.
Les enfants qui ont perdu leur parents, des orphelins
Mais comment appelle-ton les parents qui ont perdu leurs enfants ?

Il reste des choses inommables ...

http://www.cnrtl.fr/definition/orphelin
C'est nommable : c'est le chagrin, le sentiment d'une injustice, la culpabilité, l'irréparabilité ; une catastrophe.
Je connais pourtant certains parents dont la plaie demeure qu'ils aient perdu leur enfant, mais dont l'existence se poursuis, pleine - et non remplie - de rires, de rencontres, d'insouciance, de bonheurs. Même avec une balafre, même privé d'une jambe, certains survivent et vivent sans poison.
Bien à toi, bonjour aux passants,
Francis.

PS : c'est ton journal, ci-dessus ?

Ca ne nous donne pas le mot...
Celui qui, quelle que soit la façon dont on vit la perte, s'appelle.




Non, ce n'est pas mon journal.
Bien que j'écrivasse à la plume à cet âge !
Je me souviens de l'odeur de l'encre... des taches...des mots doux cachés au fond du tiroir....